Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de mon-topserie
  • : blog consacre au serie tv
  • Contact

Texte Libre

Recherche

Liens

8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 23:06

 


La disparition de Dan “D.B” Cooper fut un des plus grands mystères non élucidés du XXème siècle. Dans la série Prison break, Michael soupçonne Charles Westmoreland d’être ce fameux D.B Cooper, hors celui-ci nie catégoriquement.

Le 24 novembre 1971, un homme se faisant appeller Dan Cooper, prit un aller simple sur le vol 305 du Northwest Orient Airlines, traversant Portland, Oregon à Seattle, Washington. Il semblait être un homme ordinaire et personne n’aurait pu deviner ce que cet homme avait prévu.

Peu avant le décollage de 16h35, des instructions furent données à une hôtesse de l’air sous forme de petit mot glissé, réclamant ainsi quatre parachutes et 200 000$ en liquide. Le message précisait aussi que l’homme dont émanaient ces instructions détenait une bombe. Il faut dire que l’hôtesse ne prit pas la peine de lire immédiatement le « petit mot doux » qui croyait-elle, était accompagné du numéro de téléphone de cet homme. Ainsi, persuadée de découvrir un petit mot flatteur puisqu’elle avait l’habitude d’en recevoir lors de tous ses vols, elle ne prit pas la peine de lire le message immédiatement. Mais lorsqu’elle le lut enfin, ce ne fut pas le message qu’elle pensait avoir eu. Elle alerta alors tout l’équipage de la situation, le pilote contacta le tour opérateur ainsi que les aéroports.


DB Cooper (le vrai)


L’avion tourna alors autour de l’aéroport de Seattle jusqu’à 17h24, jusqu'à ce que le fameux appel du FBI arrive. Ceux-ci leurs firent savoir qu’ils pouvaient satisfaire les exigences du pirate, c’est-à-dire lui fournir les parachutes et l’argent. Bien que les billets étaient non marqués, le FBI en avait fait des photocopies afin de pouvoir les repérer ultérieurement et ainsi capturer D.B Cooper quand l’occasion se présenterait, et ce, grâce à des numéros de série.

Pendant toute la durée du vol, aucun des passagers ne soupçonna ce qu’il se tramait, et aucun d’eux ne pensait être un otage. L’avion atterrit finalement à l’aéroport de Seattle et tous les passagers purent descendre comme si de rien n’était. Mais l’équipage quant à lui, fut forcé de rester dans l’avion jusqu’à ce que le pirate obtienne ce qu’il avait demandé. Une fois fait, Cooper ne libéra pas l’équipage mais lui ordonna de le conduire jusqu’au Mexique avec dans l’idée de s’enfuir en parachute avant d’arriver à destination.

Cependant, ce que Cooper n’avait pas prévu, c’est qu’après ce premier voyage, l’avion n’avais pas pu refaire le plein de kérosène. Il accepta donc, sur les conseils du pilote, de faire escale à Reno, dans le Nevada, afin de se ravitailler en carburant. Cependant, toujours fidèle à son plan, il ordonna au pilote de ne pas voler à plus de 170 miles/h, ni à plus de 10 000 pieds.

Vers 19h44, alors qu’ils se trouvaient non loin de Reno, il ordonna à l'hôtesse de lui montrer comment abaisser l'escalier du 727 puis, dans les secondes qui suivirent, il disparut. La dernière image qu’elle aperçut de lui, fut celle d’un homme se jetant dans le vide, une mallette accrochée à lui.

Vers les 20 h, le pilote remarqua une lumière rouge. En effet, Cooper avait ouvert la porte arrière de l'avion, sautant à 196 miles à l'heure et ce à 10 000 pieds d'altitude. A une altitude pareille, l’air était glacial, ce qui était accentué d’autant plus par la vitesse de la chute. Bien que Cooper ne portait sur lui qu'un complet, on pouvait se demander comment il aurait pu survivre dans un froid pareil. Pourtant il a survécu ! Etait-ce  grâce à des complices ?

Après ce numéro de voltige, le FBI avait envoyé plus de 300 hommes afin fouiller les lieux, mais en vain. Ils n’ont jamais trouvé ni trace du corps de D.B, ni de son argent.

Cependant, en février 1980, un jeune garçon dénommé Brian Ingram, retrouva 5800$ en tranches de 20. Grâce aux numéros de séries, le FBI fut capable de retracer les billets qui correspondaient en effet à ceux donnés au pirate.


Westmorland (alias DB Cooper dans Prison Beak)
Partager cet article
Repost0

commentaires

P
<br /> je ne savais pas que db cooper avait réellement existé<br /> <br /> <br />
Répondre